Sortie de Atom 1.0
Après 7 années de développement, voici que l’éditeur de texte du nom de Atom sort en version 1.0.
Le project Atomicity a commencé en 2008, quand Chris Wanstrath a voulu créer un éditeur de texte pour la nouvelle génération de développeur, aussi personnalisable que Emacs, où l’utilisateur aurait un contrôle total sur son logiciel.
Il a ensuite mis le projet de côté pour fonder un service que nous connaissons tous aujourd’hui : GitHub. 😉
En 2011, des développeurs ont commencé à contribuer à Atomicity, puis ont travaillés dessus à plein temps chez GitHub. Le projet fût alors renommé Atom, et devint un projet « officiel » GitHub.
Le 25 juin, la version 1.0 est sortie, et semble correspondre à la vision originale de Chris Wanstrath.
Quelques chiffres :
- Atom a été téléchargé plus de 1.3 million de fois
- Atom a 350 000 utilisateurs actifs par mois
- Il y a 660 thèmes et 2090 paquets à l’heure actuelle
- La version 1.0 est la 155ème version
Personnellement, j’utilise Atom depuis plusieurs jours et je l’aime beaucoup. Il est écrit en HTML, CSS, JS et Node.js, ce qui le rend un peu lourd, mais la version 1.0 a apporté des correctifs d’optimisation dans ce sens. Je le trouve très beau et agréable d’utilisation (je suis un habitué de Sublime Text).
Il apporte déjà une certaine intégration avec GitHub, mais les prochaines versions seront beaucoup plus portées sur ce sujet, maintenant que la « base » est là
Voici la vidéo de présentation un peu « retro » publiée par GitHub pour l’occasion :
Sources :
Dernière modification le 17 décembre 2017.
J’aime bien aussi atom, en ce moment je suis en train de tester Visual Studio Code sous Arch, il est excellent out of the box, mais un peu moins complet que Atom ou ST au niveau des fonctionnalités/plugins.
Ah bah tiens je l’ai téléchargé il y a quelques jour mais je ne l’ai pas encore testé.
Mais bon après entre un logiciel libre et un logiciel propriétaire by Microsoft, le choix est plutôt vite fait 😉
Edit du 05/11/2017 : VSC est pas du tout propriétaire, qu’est-ce que je raconte comme bêtises, moi.